Cameroon Revolution - Révolution Camerounaise

By Cameroon Revolution on 10/22/2012 6:24 AM

 

Parlons justement de l’insurrection. Le droit à la résistance et à l’oppression est mis en valeur dans la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1793 qui stipule en son article 35 que « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. ». L’insurrection populaire qui se définit comme la révolte d’un peuple contre un pouvoir établi oppressif, tyrannique et despotique peut à juste titre intervenir quand un peuple essoré a marre de ses dirigeants, comme c’est le cas actuellement au Cameroun. Elle intervient le plus souvent quand le peuple se rend à l’évidence qu’il n y a pas une autre issue pour faire inverser le cours du pays, comme c’est le cas actuellement au Cameroun. Elle intervient quand le peuple se rend compte qu’il est écrasé par un régime totalitaire qui, malgré son cuisant échec dans la conduite des affaires du pays, tient à rester à tout prix et à tous les prix au pouvoir, comme c’est le cas actuellement au Cameroun.  L’exaspération qui a envahi le peuple camerounais est aujourd’hui à son comble. Et si rien n’est fait d’ici les prochaines élections dans le sens de la transparence, il est possible que l’insurrection devienne inévitable. Le Président des Etats Unis d’Amérique John Fitzgerald Kennedy qui était tout sauf un anarchiste disait fort à propos ce qui suit : « A force de rendre impossibles les évolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes. » 
By Cameroon Revolution on 10/1/2011 5:14 PM


Le 16 septembre 2011, le journal www.Camer.be nous a gratifiés de cette terrible photo d’une sale de classe de l'école publique de Kongola Djiddeo dans l'arrondissement de Maroua 3ème, département de Diamare, capitale de la Région de l'Extrême-Nord. On dirait une école au moyen âge. Près d’une cinquante d’enfants assis à même le sol, couverts de poussière dans une salle sans tables ni chaises. • Il s’agit de la ville d’Amadou Ali, Vice-Premier Ministre et Ministre de la Justice, (25 ans ministre) auteur de cette révélation de Wikileacks : “Le Septentrion soutiendra Biya aussi longtemps qu’il voudra rester président.’’ • de Cavaye Yéguié, président de l'Assemblée nationale du Cameroun qui n’a pour seul souci que la prospérité de sa famille et de celle de ses femmes. Près de 25 ans en poste, il est le successeur constitutionnel de Biya au cas où ce dernier serait un jour appelé brutalement à rejoindre ses ancêtres puisque...

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